Ma venue n’aurait été qu’un début
Du retour qu’aucune personne n’aurait crû
Lors duquel rencontrer ce clown à sept
Tête produirait tous les jours une grande fête
Bouillonnant dans le cerveau de ma plume
Dévêtue de tout ce qui est costume ;
Ne fus-je point né avec de vêtements
Pour qu’à visage nu portes-je mon testament
Langoureux pour toute oreille attentive
Mais dépêchant un camp à la dérive ;
Çui du lynx se disant indomptable
Tout pour masquer qu’il est incapable
Et mesquin, cultivant grande peur partout
Or ma venue sert aux miens le ragoût.